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'PHOTOSHOOT 01' :

À voir la tête que tire le photographe, le résultat qui transperce l’écran de la caméra n’est clairement pas à son gout, mais alors, pas du tout. Bazil, visiblement mal à l’aise de la situation, se balance d’une jambe à l’autre, incapable de perdre cette soudaine impression qu’il n’est clairement pas à sa place.  Pourtant, il tentait de se souvenir des conseils de sa sœur, de ses commentaires, des encouragements qu'elle lui avait promulgués avant qu’il ne se jette dans la gueule du loup. Il devait se remettre dans cet état d’esprit, reprendre confiance en ces potentielles capacités, et se laisser guider par son seul instinct, sans se mettre toute cette pression sur ses épaules. Replaçant sa chemise où un mauvais pli semblait vouloir y prendre naissance, il opta pour retourner s’installer sur la chaise longue, jugeant que ça restait encore l’option la plus favorable, vu les remarques positifs qu’il avait reçu sur les photos qu’il y avait pris. Il ignora l’objectif, cette fois, et il décida de ne fixer que les mots écrits sur le livre entre ses mains.  

(INSPIRATION POSE)

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'PHOTOSHOOT 01' :

Voilà qui était mieux, et qui redonna le sourire au candidat. Ce n’était pas encore gagné, mais il sentait qu’il se rapprochait, lentement mais surement, du but à atteindre. Cesare semblait avoir retrouvé un semblant de bonne humeur, plus satisfait par cette photo que la précédente. Définitivement, les photos assises avaient la côte avec ce dernier. Il réussirait surement à en tirer une bonne en préférant des poses similaires pour la suite des suites. Il se réajusta sur son siège, changea l’angle de son corps, la position de ses jambes, de ses bras, et de l’accessoire entre ses mains. Les lunettes, elle, restait toujours sur son nez, lui donnant ce petit air intellectuel qui semblait plaire. Une de ses mains alla se perdre dans sa tignasse fraichement un brin trop longue à son avis, mais dont il n’osa pas se débarrasser sous peine de se le faire reprocher. Un nouveau flash arriva, annonça une nouvelle photo.

(INSPIRATION POSE)

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'PHOTOSHOOT 01' :

Il faisait tellement chaud, avec ce soleil de plomb qui leur tombait sur la tête. La sueur commençait à perler sur le front de Bazil, et le photographe ordonna l’arrêt de la séance pour que l’on procède à quelques retouches maquillages. Le modèle d’occasion en profita pour prendre une longue gorgée d’eau de la bouteille que lui tendait l’un des assistants. Un linge humide fut passé sur son visage, et un peu de poudre et de maquillages fut à nouveau appliqué sur sa peau, avant que le staff s’éloigne, satisfait. Le photoshoot pouvait reprendre. Restant dans cette position assise, au bord de la chaise, lunettes entre ses mains et le livre, fermé, posé à ses côtés, il jugea être fin prêt pour le flash de l’objection. Et le clic du photographe le lui confirma.

(INSPIRATION POSE)

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'PHOTOSHOOT 01' :

Il ne restait plus que deux tentatives avant que la séance prenne fin, et Bazil ne s’attendait pas à atteindre les attentes d’un photographe dès la première séance. Néophyte dans ce milieu, sans aucune connaissance de ce dernier, il avait tout à apprendre. Et ce premier photoshoot, même s’il échouait, resterait somme toute une solide première expérience dans ce milieu. Car ce n’était pas que des commentaires négatifs, qu’il entendit du professionnel. Peut-être avait-il réellement un certain potentiel? Restait plus qu’à se le prouver à lui-même. Il opta pour une pose un peu similaire à la précédente, mais cette fois, c’est face à l’objectif qu’il se retrouva, les accessoires ayant, pour le compte, conserver leur emplacement initiales.

(INSPIRATION POSE)

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'PHOTOSHOOT 01' :

La dernière chance, l’ultime tentative pour obtenir la photo dite parfaite. Il se devait de jouer le tout pour le tout, et cela impliquait, même si ça le dérangeait un peu, de prendre certains risques. Ou du moins, d’aller au-delà de ses propres limites. Jugeant qu’il ne perdait rien d’essayer, et même si ça l’embarrassait légèrement, il détacha complètement son chemisier pour laisser entrevoir son torse. Se relevant, c’est contre le dossier de la chaise qu’il s’adossa, ses lunettes ayant à nouveau retrouvé sa place dans son visage. Le livre, lui, il l’avait coincé entre l’un de ses bras et son corps, tandis que de son autre main, il joua de ses verres pour tenter de se donner une autre image. L’effet aurait surement été amélioré s’il avait eu droit de faire usage de lunettes solaires, mais il composait avec ce qu’il avait. C’était maintenant ou jamais.

(INSPIRATION POSE)